Le rendre meilleur
Ne te plains pas de ton temps. Si tu le trouves mauvais, demande-toi ce que tu as fait pour le rendre meilleur
Ne le perdez pas à vouloir
vivre la vie de quelqu’un de différent.
Ne suivez pas les règles qui vous imposent
de vivre comme les autres pensent que
vous devriez vivre.Ne laissez pas les bruits des opinions des autres assourdir votre voix intérieure.
Et pardessus tout, ayez le courage de suivre votre coeur et votre intuition. Ces deux savent déjà qui vous voulez réellement devenir.
Tout le reste n’est qu’accessoire.
-Steve Jobs
Cher futur,
Je dois te faire une confidence, tu as longtemps été une source de stress pour moi. Malgré que j’aspire à un idéal de toi, mon avenir, j’ai souvent été figée devant les actions que je devais poser pour te réaliser. Préférant malheureusement laisser passer les années en jetant des coups d’oeil derrière de temps en temps pour constater que le temps me filait entre les doigts.Je te remercie aujourd’hui pour cette angoisse que tu as si souvent suscitée en moi. Merci pour les scénarios faussés par l’insécurité et le manque de confiance en moi qui se sont parfois réalisés et parfois non. Je te remercie, car j’ai appris à reconnaître mes signes d’inquiétude, à reconnaître mon discours mental erroné et finalement, j’ai appris à m’écouter.
J’ai appris que de s’inquiéter ne sert à rien finalement et ne change rien non plus. J’ai appris que même en essayant d’envisager tous les scénarios possibles et de décider à l’avance ce que j’allais faire, quand j’arrive à la rivière, je peux encore décider si je traverse le pont ou si je rebrousse mon chemin. Et si jamais le pont est brisé, je peux toujours traverser à la nage ou encore embarquer dans le bateau qui passe. Je sais maintenant que je prendrai toujours la bonne décision peu importe la situation, parce que j’ai arrêté de m’en faire pour toi.
L’as-tu remarqué ? Je suis plus sereine maintenant. Je ne vis plus dans mes peurs. Je vis davantage le moment présent en profitant des petits bonheurs de la vie.
Si tu le veux bien, j’aimerais qu’on fasse un pacte ensemble aujourd’hui, peux-tu me promettre de toujours me réserver de belles surprises si je prends des décisions pour moi, en respectant qui je suis ? Peux-tu me promettre que le bonheur m’attend si je me fais confiance et que je crois en moi ? En retour, moi je te promets de croire en toi, de croire que tout est possible. Je te promets de voir en toi une tonne de possibilités au lieu de voir une tonne de problèmes.
Merci pour toutes les opportunités que se présenteront à moi, parce que j’aurai osé tracer mon chemin selon mes forces et mes rêves. Merci de continuer à m’inspirer en me proposant de ressentir les choses pour m’aider à y voir plus clair.
Dream Big mon avenir !
Il faut donner le temps au temps
-de Miguel de Cervantès
Parole et musique – Didier Barbelivien
Il faut laisser le temps au temps
Et nos amours auraient quinze ans,
Et nos pères seraient nos enfants,
Lennon serait encore vivant.
Il faut laisser le temps au temps
Et elle m’aurait aimé sûrement,
Quand nous étions deux étudiants,
Deux oiseaux sur le fil du vent.
Il faut laisser le temps parler librement.
Il faut laisser les heures couler doucement.
Il faut laisser nos curs chanter différent.
Il faut laisser le temps au temps.
Il faut laisser passer les nuits, les jours, les années.
Il faut laisser danser nos vies, nos rêves, nos idées.
Il faut laisser tomber la pluie, les matins d’été,
Et renaître au soleil levant.
Il faut laisser le temps au temps
Pour que Vincent ait du talent,
Que Jimmy devienne un géant,
L’histoire pour faire un président.
Il faut laisser le temps au temps
Et elle m’aurait vu autrement
Que ce poète indifférent
À ces yeux qui me disaient tant.
Il faut laisser le temps parler librement.
Il faut laisser les heures couler doucement.
Il faut laisser nos curs chanter différent.
Il faut laisser le temps au temps.
Il faut laisser passer les nuits, les jours, les années.
Il faut laisser danser nos vies, nos rêves, nos idées.
Il faut laisser tomber la pluie, les matins d’été,
Et renaître au soleil levant.
Il faut laisser le temps parler librement.
Il faut laisser les heures couler doucement.
Il faut laisser nos curs chanter différent.
Il faut laisser le temps au temps.
vidéo Didier Barbelivien
source Youtube
et qui laissent aux sourires des cicatrices imparfaites
-Marc Levy
Aujourd’hui n’est pas le lendemain d’hier, mais la veille de demain.
Le temps
Le temps c’est de l’argent et le temps libre de l’or
De temps en temps, il est bon d’arrêter notre quête du bonheur et d’être tout simplement heureux.
-Guillaume Apollinaire
Proverbe chinois
épargnez
Epargnez jusqu’aux moindres instants :
un moment de temps est
une parcelle d’or.
-Proverbe chinois
Autrefois, on ne connaissait pas l’écologie, mais nous l’étions….sans même le savoir, car :
On retournait les bouteilles de verre consignées au magasin.
Le magasin les renvoyait à l’usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau : les bouteilles étaient recyclées.
On montait l’escalier à pied : on n’avait pas d’escaliers roulants et peu d’ascenseurs.
On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu’il fallait se déplacer de deux rues : on marchait jusqu’à l’épicerie du coin.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On ne connaissait pas les couches jetables : on lavait les couches des bébés !
On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge, pas dans une machine de 3000 watts.
On utilisait l’énergie éolienne et solaire pour sécher les vêtements.
On reprisait systématiquement les vêtements qui passaient d’un frère ou d’une soeur à l’autre.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On n’avait qu’une TV (quand on en avait…) ou une radio dans la maison, pas une dans chaque chambre.
Et la télévision avait un petit écran de la taille d’une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l’État du Texas.
On avait un réveil qu’on remontait le soir.
Dans la cuisine, on s’activait pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu’EDF en produit.
Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
On n’avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou autoportées : on utilisait l’huile de coude pour tondre le gazon.
On travaillait physiquement; on n’avait pas besoin d’aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l’électricité.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On buvait de l’eau à la fontaine quand on avait soif. On n’utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter.
On remplissait les stylos dans une bouteille d’encre au lieu d’acheter un nouveau stylo.
On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l’école à vélo ou à pied au lieu d’utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 heures sur 24.
Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’ autre, les crayons de couleurs, gommes, taille-crayons et autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient ; pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On n’avait qu’une prise de courant par pièce, et pas de blocs multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui.
Mais c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste !
atmosphère-citation